Communication Festival

kamilleonet a écrit:Je rentre à Bouzonville chez mes parents ce weekend,
c'est pas loin de Metzerviss.
Je peux récupérer des affiches et des flys pour mettre dans les écoles, les bureaux de tabac, bars, la MJC, ...
Histoire de faire un peu de pub dans un endroit à 15 minutes du festival.

Hello et merci pour ta proposition, mais nous avons un léger PB avec
l'imprimeur et nous n'aurons les affiches que mercredi... Je vous tiens
au courant....

Corran a écrit:Je sais que tu dois me trouver chiant Elric a t'appeler tout le temps ou a t'envoyer ds SMS, mais la je n'ai plus d'affiche et si tu veux que j'en mette encore un peu partout. Et ce que tu peux me dire quand je peux venir en chercher ?

HxC a écrit:Bien joué l'actu en homepage !
Quand au fil de discussion dans le "De la rencontre", j'y ai également posté un nouveau message en réaction à un autre mais il n'est pas facile à faire vivre en mettant des nouveautés à chaque post.

Note sous la photo :
Le père Noël n'a qu'à bien se tenir : question jeux, Damien et Muriel peuvent en distribuer aussi par milliers.

Chapeau :

La première édition de Ludik’Abrak a été un succès l’an passé, au centre socioculturel de Metzervisse. Alors rebelote pour ce festival dédié aux jeux. Cette fois, les organisateurs jouent la carte des 27, 28 et 29 mars.


Corps de l'article :

Croyez-en l’expérience de Damien Blanchet et Muriel Schmitt : préparer un festival du jeu est tout sauf une partie de plaisir… «C’est même un sacré boulot ! », commentent en chœur les deux animateurs de la fédération Culture et Liberté. N’empêche, pour rien au monde, ces deux-là n’auraient passé leur tour à l’heure d’organiser le Ludik’Abrak, deuxième du nom. Il faut dire que la première édition a connu un tel succès l’an passé que, bingo, les deux initiateurs du projet ont remisé tout sur 2009. «A dire vrai, la dernière fois au centre socioculturel de Metzervisse, il y a eu des moments où nous étions débordés. Trois cents entrées payantes (sans compter les moins de 6 ans pour qui l’entrée était gratuite), on a eu la foule des grands jours.» Et de là à parier que les 27, 28 et 29 mars il en sera encore de même, il n’y a pas long…
La "règle" du festival restera la même : proposer à un maximum de gens de découvrir un… maximum de jeux. «Même si l’époque semble être aux joueurs isolés devant leur écran d’ordi, il y a en fait de plus en plus d’amateurs de jeux qui se retrouvent autour d’une même table pour des parties, constate Damien. Et notre volonté est bien de travailler autour de ses valeurs qui rassemblent de plus en plus de monde : le partage, le respect des
règles, le développement de l’imaginaire. »

"Glonk" et compagnie
Pour convaincre petits et grands, Culture et liberté (soutenue par l’association locale ACPLM) va sortir le grand jeu. Ou plutôt plein de jeux. Par dizaines, centaines même. «Durant ces trois journées, les visiteurs ne restent surtout pas inactifs. On les invite à s’asseoir, on donne vite fait les règles et la partie s’engage. » Simple comme un coup de dé. Les cartes sont
battues, les plateaux alignés, les figurines sorties de leur emballage, les jetons répartis, les pièces de puzzle mélangées, les billes posées à terre et c’est parti… «On réservera aussi une partie aux jeux vidéo, rassure Damien pour les angoissés de la manette. Mais version "old
school" : de vieilles consoles avec de vieux jeux comme les premiers Street fighter ou Mario Kart. »
Les plus jeunes apprécieront, eux, plutôt les jeux en bois géants prêtés par la ludothèque de Florange. Adultes et ados pourront jeter un œil aux six jeux offerts par l’éditeur Bioviva, «signe que l’on peut jouer avec tout. Eux proposent des challenges autour de la nature et du
développement durable ».
Le Ludik’Abrak accueillera aussi un créateur de jeux. Le Sarregueminois Daniel Quodebach
profitera même du festival pour commercialiser "Glonk", « un jeu de pichenettes génial ». Et puis, entre vendredi et dimanche soir, il y aura aussi des jeux coopératifs («tous les joueurs unis pour vaincre un scénario »), des happenings où soudainement toute la salle sera mise à
contribution, des blind-tests musicaux, etc. «A part le Monopoly ou la Bonne paye, on aura tout, tout, tout, assure avec impatience Muriel. Pourquoi pas ces deux-là ? Parce qu’apprendre à payer des dettes ou à acheter des terrains, ce n’est pas s’amuser… » Et toc, bien joué !
Contact : tél. 06 75 13 75 08 ou 06 13 41 29 71